Dans un contexte urbain d’une grande densité, où la végétation est très limitée, la forêt revêt un caractère tout à fait particulier pour le citadin en quête de loisirs et d’expériences variées.
Les loisirs en forêt [6 de 12]
![Les loisirs en forêt [6 de 12] Un loisir en forêt aménagée en toute détente.](https://i2.wp.com/www.isabellequentin.com/wp-content/uploads/2021/04/amenagement-foret-1.jpg?resize=750%2C350&ssl=1)
Dans un contexte urbain d’une grande densité, où la végétation est très limitée, la forêt revêt un caractère tout à fait particulier pour le citadin en quête de loisirs et d’expériences variées.
Une posture en mouvement, même en télétravail, c’est possible et hautement recommandé! Intégrez le mouvement à ce que l’on appelle communément la posture de travail. Organisez votre espace jeu au travail et, bougez!
Frappez-vous un mur? Vivez-vous une situation complexe à laquelle vous aimeriez apporter un éclairage nouveau? Comment rebondir plutôt que de vous écraser? Socrate et Einstein à la rescousse pour trouver des solutions? Puissante équipe, non?
En entreprise comme en privé, les histoires vécues sont indélébiles. Elles feront toujours partie de vos rapports. La solution aux souvenirs heureux? Profitez des moments délicats et des crises pour encore mieux communiquer.
C’est en observant les animaux des forêts et des champs que les humains ont appris à se nourrir et à se soigner. Les animaux ayant les sens beaucoup plus aiguisés qu’eux, les humains les ont pris pour guides.
«Une brèche en toute chose», dit la chanson de Leonard Cohen, c’est d’abord le constat que rien ni personne n’est parfait. C’est aussi la révélation que la lumière peut entrer par cette faille. Que l’imperfection dévoile ce qu’il y a à faire.
Donner du temps ou perdre son temps? Faites-vous la différence? Elle est de taille. Restez aux aguets. La vie file vite!
Amoureux, découvrez le jeu des positions perceptuelles. Mettez-vous à la place de l’autre, abordez son point de vue, ressentez-le, échappez aux monologues stériles. Bref, communiquez.
L’autochtone dit : «La nature, la forêt, c’est moi. J’appartiens à la forêt et elle m’appartient ; nous sommes indissociables.»